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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/167

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ils lui suffisent complètement, et qu’il n’a admis, dans ses assolements, aucune de ces cultures extraordinaires trop vantées dans les livres et qui, selon lui, ne font que fatiguer à peu près inutilement les hommes, les chevaux et la terre. Cependant il a obtenu 14,000 francs de produit net d’une de ses fermes qui n’était louée auparavant que 5,040 fr. Mais en présentant ces résultats, il ajoute sagement que ses méthodes ne doivent point être imitées avec servilité, et que chacun doit se faire ses assolements à soi-même, en consultant bien les circonstances, et leur influence sur la culture, la récolte, et la vente des produits.