L’intervalle compris entre le son le plus grave et le son le plus aigu de cette série était d’une sixte superflue.
Il est presque inutile de remarquer que des lames prises suivant les directions I, II, III…, inclinées de l’autre côté de l’axe des mêmes nombres de degrés que les lames 1, 2, 3…, présenteraient exactement les mêmes phénomènes que ces dernières. Cette observation étant également applicable aux séries suivantes, nous nous bornerons à la mentionner ici.
perpendiculaires au plan fig. 9 et 10.
Comme dans le cas précédent, l’un des systèmes nodaux des lames de cette série se compose de deux lignes croisées rectangulairement, dont l’une correspond à l’axe d’où il suit que la seconde peut être regardée comme la projection des deux autres axes sur le plan de la lame qui, quelle que soit son inclinaison, doit posséder, en conséquence, une plus grande élasticité dans le sens que dans le sens ainsi le système hyperbolique de cette série ne peut pas présenter les transformations qu’il nous a offertes dans la série précédente, ou fig. 8, possédait une élas-
exercer sur l’éclat, la pureté, l’égalité et l’intensité des sons ; il ne serait pas impossible que les qualités supérieures de certains instruments de musique dépendissent de ce que le plan de leur table d’harmonie se trouve ainsi incliné d’un certain nombre de degrés sur la direction des fibres.