trois axes ne présentent que des lignes hyperboliques, tandis que le no 1, qui contient deux des axes d’élasticité, et le no 6, qui n’en contient qu’un, sont susceptibles d’affecter ce genre de division.
Dans cette série, ni l’un ni l’autre des modes de division ne demeure constamment le même pour les divers degrés d’inclinaison des lames ; à partir de la lame no 1, l’un des systèmes passe graduellement de deux lignes croisées à deux branches d’hyperbole, qui se transforment presqu’en lignes droites parallèles dans le no 6 : au contraire, l’autre système se présente dans le no 1, sous la forme de deux courbes hyperboliques dont les sommets se rapprochent de plus en plus jusqu’à se confondre dans le no 6, où elles affectent la forme de deux lignes droites qui se coupent à angle droit ; et cette marche contraire, dans les modifications des deux systèmes, est telle qu’il y a une certaine inclinaison (no 3) pour laquelle les deux modes de divisions sont les mêmes, quoique les sons qui leur correspondent soient très-différents.
Comme dans les séries précédentes, et pour les mèmes raisons, le son de chaque système nodal va toujours en s’élevant à mesure qu’il s’agit d’une lame qui approche plus de contenir l’axe de plus grande élasticité dans son plan.
au plan, fig. 5.
Parmi toutes les lames qu’on peut tailler autour de la diagonale du cube fig. 5, il en est trois dont chacune con-