VILLE DE PARIS Échelles existantes à la ville. 9 échelles, dont i de 43 échelons ; i de $4 ; a de 25 ; i de 14 ; 1 de 23 ; 2 de 23 ; i de 19. Pompes restantes à la ville avec leurs boyaux, 3 pompes composées chacune d’un corps de pompe, garnies de leurs pistons et cuvettes de cuivre rouge, leurs balanciers de fer avec leurs bâtons, trémies, et ajoutoirs aussi de cuivre rouge ; lesd. pompes enfermées dans leurs caisses de sapin fermantes i clé. 206 pieds de boyaux neufs de cuir garnis de leurs écrous de cuivre jaune. Il y a autant de boyaux vieux. Plus une trémisse à chaque pompe, de 23 pieds de long. 44. — Pompes sur la rivière et leurs boyaux, 4 corps de pompes complets avec leurs balanciers de fer en bon état, montées sur 3 bateaux dont le détail suit ci-après : i, 73o pieds de boyaux en 73 parties, garnis de leurs écrous de cuivre }aune. 4 bateaux sur lesquels sont lesd. pompes ; le i*’ est de 3S pieds de long sur i3 de large ; le 2« de 35 pieds de long sur 11 1/2 de large ; le 3* de 3 1 pieds de long sur 9 1/2 de large ; le 4* de 3o pieds 1/2 de long sur 8 de large ; les 4 bateaux en fort mauvais état^. Ils sont entourés de balustrades de fer pour empêcher ceux qui travaillent de tomber dans la rivière. Nota. — Il faut les réparer. Ordre a été donné au s’ Bisson de les faire accommoder le i3 août 1740. La pompe qui est aux Mousquetaires a 80 pieds de boyanx. 45. — Magasin du 5’ Muidbledy menuisier de la ville. 3 tables (5 pieds 1/2 de long sur 3 1/2 ; 9 p. sur 3 1/2 ; 5 p. sur 3 1/2). 6 grandes tables du repas de la Saint-Roch. 35 grandes tables servant dans l’étendue de l’hôtel de ville aux grandes réjouissances. Le grand buffet, avec ses tables et tréteaux, renfermé dans sa barrière. 8 brancards avec leurs housses, avec leur toile. Le tour qui a servi au bal. 25 planches… de sapin de bateau. Ancienne petite roue de loterie. 2 marche-pieds, dont un grand brisé. 8 montées des balcons de Messieurs en saillie sur la Grève. 32 tréteaux, tant moyens que petits. I. En marge : Il faut les réparer, Tordre a été donné au s’ Bisaoa de le faire accommoder, le i3 août 1740. ET
