CITOYENS NOBLES DE PARIS EN I789. a8l nommé président en la Cour des aides de Paris, au lieu de Gabriel Choart, son père. {Ibid, ^ 5 mars 1788.) Autres : Jean Choart, reçu conseiller du roi, maître ordinaire en la Chambre des comptes de Paris, au lieu de Jacques Valîeteau de la Roque. (Journal de Paris ^ 34 déc. 1785.) Bénigne Choart de Crécy, conseiller lai au Parlement de Paris, au lieu de Bénigne Choart de Crécy, son père, (/^li., 18 mai 1789.) Choduilos db Laclos, alias Pierre- Ambroise-Françoi s Choderlot Delados, écuyer, cheyalier de Saint-Louis, captuine d’artillerie, demeurant au PalaisRoyal, électeur du 3* départ. Billet d’ent. de M^* Jean-Ambroise Choderlos de la Clos, écuyer, rue Mêlée. {Journal de Paris, 18 août 1784.) Choppin, électeur du 11* départ Premier président selon Chassin. En réalité, René Choppin d’Amouville, chevalier, était ancien premier président de la cour des Monnoies et habitait rue Saint-Claude, près le boulevard, ainsi que son fils, conseiller au Parlement. C’est en 1781 {Journal de Paris^ 4 nov.) que René Choppin d’Arnouville, conseiller du roi en ses conseils, premier président en sa cour des Monnoies, commissaire en l’hôtel des Monnoies, â Paris, s’était vu remplacer par Étienne-Jean- Benoît Tkévenin de Tanlay ; quant au fils, René Choppin d’Arnouville, il avait été reçu, en 1784, conseiller du roi lai en la cour de Parlement à Paris, au lieu d’Alexandre-François Roger de Villers. (Journal de Paris ^ 20 mars.) Billet d’ent. de Mad. Émîlie-Charlotte de Bonnaire de Forges^ épouse de M^* René Choppin d’Arnouville, chevalier, conseiller du roi en sa cour de Parlement, transportée en l’église des Minimes de la place Royale. (Ihid.y i3 mai 1787.) Autre : Billet d’ent. de Mad. Claire — Célénie Morely veuve de M^^ René Choppin, chevalier, seigneur d’Arnouville, conseiller du roi en ses conseils, maître des requêtes honoraire et ancien président du Grand Conseil. (Jbid.^ 3o oct. 1782.) CminsN père et CHsiriEii fils, i5* départ. Chrétien père, alias Chrestien de Lihus, était conseiller à la Cour des aides (8« Le». 108 et Le». 114) ; il habitait rue d’Enfer-SaintMichel, n« 95, la même maison que Camusat de Toëny, qui appartenait à la même Cour. Un autre conseiller à la Cour des aides, portant le même nom Chrestien, avait remplacé, en 1789, Michel-Pierre Besnard (Journal de PariSy 4 mars) ; Pierre-Augustin Chrestien habitait rue de Gramont. Faut-il rapprocher des précédents Pierre-Jacques Chrétien, procureur en la cour du Parlement, Cours des aydes et des Monnoyes et26% l’é
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