Page:Mémoires de la société géologique de France - 1re série - 1 - 1833-1834.djvu/425

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Note. Jusqu’à présent je ne possède encore du Bellerophon vasulites aucun échantillon susceptible d’être déterminé avec précision. Sur les moules, il m’a été impossible de distinguer soit le siphon, soit les cloisons, ce qui me fait croire que cette coquille appartient plutôt aux Gastéropodes qu’aux Céphalopodes.

La pl. XXIII, fig. 6, 6 a, représente une Ammonite à laquelle M. Steininger propose de donner le nom d’Am. numismalis, et dont il n’a pas publié la description. Elle est pyriteuse et provient de l’argile schisteuse d’une mine de houille près de Sarrebruck.

On trouve aussi dans la même pl. XXIII, fig. 4, 4 a, la figure d’un Trochus, de l’Eiffel, que M. Steininger regarde comme une nouvelle espèce, et qu’il a nommée Bouei sans y joindre de description. (Note du Traducteur.)