Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/122

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

EMPIDOCLE Au somet de l’Etna, debout pros du crat$re, Come H$raels depant le bgwher de l’Elta, Embrassant du regard l’Oedan et la t$re, Empddoele adora la nature et ehanta : Miroir de l’Inrini, riots de la ruer divine, Goufre in,iold, grand orizon bleu t Lampes du ciel profond dont la nuit s’illumine, Peuples de l’espace, dtoiles de Dieu ! ltern$les for$ts,’ mistdrieus orebrag’es, Arome eniorant q’exalent les bols! 0 solitude sainte t 6 voluptds sauvages ! Boneur inddcrit, libertd sans lois! 0 nature titemile, impdndtrable, immense! Ton temple est l’dter, les monts tes autels ; Dans ta nuditd chaste etta toute-puissance Je oiens t’adorer, loin des bruits mortels. Ta filtme, d’ oit jaillit l’dtinc. ble dfdmre Qi done la vie au ndant glacd, M’a tird de la nuit originble, Mre! Ton lait m’a nuri, res bras m’ont bercd. fie me suis eniord de ce someil sans roe Qe verse aus.forls le vent des ioers,