Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/228

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21 U FORIO. EU ion ndq’it dans le champs d; asfd.les ; Sur’son dos arndi s’om,raient detts blanches ai[es : Hlne !e plongea dans !e euve des pleurs, Puis inoqa pour lui s Dtts infrieurs : Hades, Persfon, di[nis fuhbres,- Qi rtgnez au mi!u des immenses tnbres, Sijour d’orreur pour les mortels ; Puisse, dans tousle s chatnps et dans tomes ies oilles, Le sang’ des aFneams noirs et des vaes slOriles Rour cos iugtres auteis Par us, ule entre tos les morts, objet dnvie, L’amour dans s flanes d’ombre a fait rmer ia oie; Mais qe rt-le aus sombres bords, Loin du solall, et !n la dou lumhe, Au sdjoar Iable oh volti, id, . La foale ibrable s morts ? Aus airs suprs qe votre sortie eraporte on fils ; onvrez ur l l’inexorab porte De , romes tndbreus ; Ofre (on sein fdnd a sa byre raoD, 0 Tbre aus rsflancs, source to vie, ]le antiqe des Deus ee Mais re,ant tousles Diet je t’implore et t’adjure, Eros, toi do i’esprit plane sous l’om.b obscu Du bols de mitre o notts r&,ons ; 0 lepls au desDieuM dompteur de toutes ehoses, Apble aatottr de lui res zt/;rs et res roses, . Et res paums et res chansons. ’le dit : h sa ,ois ’issone l’eau d’opale Dtt ruisseau qi sernte h tra,ers !e bols phle,