Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/234

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'o EUFORION Leurs fascinacions ne pouront m’dblouir. Toujour dans ie miroir uni de ma.pensde Leur image tracde En pomes de marbre ira s’dpanouir. Ainsi, pour pndtrer dans la sfre dioine, Euforion chassait du fond de sa poitrine Le ddsir du boneur qi ne dure q’un jour. Sans le conattre encor repoussa-t-il i’amour, Ou bien mdprisa4-il des ,oluptds conqises ? Je ne sais : car il est des hines inddcises Pour qi l’ amer dggoitt devanee !e plaisir, Et chez qi lespdrance mousss le ddsir. Ctendant, come si la nature dternble Voulait le fetenit et l’enchafner prs dle, Un chant d’adieu, vets !ni par !a brise eraportal; S’etwola, triste et dous come une null d’dtd : Adieu/plus molement qe he fait !a liane Qi serpente et qi Klisse entre !es bananiers, Et plus dtroitement qe le flot diafane Qi caresse les pieds, Dans une ardente dtreinte, entre roes bras d’i,oire Je voulais t’enlacer ;je voulais t’endormir Aus eJflm,es d’amo.r de ma prun!e noire, Et je ,oulais t’ofrir Mile bonears r’,,ds oh le ddsir bucombe, Filtres qijont aimer, chausons,pafums des fleurs, ,Yourires antouretts et baisers de colombe, Etti,ranls lanrttettrs ! Maif./e le sonrials en eaiu : dans d’autres ,oies .L’or$,’ueil l’d$,’are, el moi. la tne.rtnes res bras,