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Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/36

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PROM]’TH]E D]LIYR. PROM]TH]E. Pendant ,e tes genous s’usaient dans la prire, Ton Dieu laLssait partout rdgner le real, la gure Bnoelopait le mond eselaoe, et tu priaLs. Tu laLssaLs ie champ libre it route tirannie, Bt !s sanglots, les rLS d’angoLsse et d’agonie Gouoraient res cantlqes d pals. ]lfortel, song’e it cesj ours maudtts,oit dans tes plames Partout mile titans rioaient les lourdes chatnes Dont ts bras ont gardd le stigmate fa(al ; Qand Dieu, qe tu priais en oain, liorait la tre A l’impie, et dotmalt dans son ciel solitaire, Donjon de ee Dieu fdodat. Toi, litehe et rdsignd, tu priaLs en silence, Dans ls dffserts du eiel relffg’uant l’.espdranee, Et demandant it Dieu la,[in de’ res douleurs. oe-toi! Tes droits sont saerds : qi se rdsigne A subir l’escla,as’e et l’oprobre en est dig’he. BrLSe tes fers : sols libre ou meurs ! Le serpent disair orai : 1 a science dtait bone; Sa maih ,a de oos.fronts araeher. la tourone, llohim, nous ,oici pareils it l’un de ,ous. ous oouliez,.fils ins’rats de la pensde umaine, Proserite otre mre, enehatner ootre reine ; Son seeptre se l,e : it genous I’ 0 Pensde/ils patront ta pne inexpide; 8at ton calaire aussi, sainte crucifide, Tu ressusciteras des morts apres troLs jours. Les peuples prosternds chanteront ta oictoire, Tes disciples chdrLs te ront dans ta gloire, Ton rgne durera toujours.