Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/45

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Sous mile corps dioers nagt, meurt, et nagt encore. G’est pur la pie, enjn, qe tout crime est puni. Mais le sa’e, qi oil et mert. dans la pr.irq, Immobile et les eus.fixds sur la lumire, Oubliant et son itme etsa oie dfdmre, $e onfond et s’abtme an sein de l’in, fini. HCLkS. Prtre des aniens jours, tu t’es trompd : le sage N’est pas cet inntile adoPateur des Dieus’ Qijamais de leur iel ne ddtourna les ieus, Et qi, sur ete met sans astr et sans rivage, Fatigu4 de tamer et de chercher un port, Ainsi q’en un tombeau dans l’infinl s’endort. La ,ertu, e’e$t la force; et le sage doit suivre La route oft marche aussi le troupeau des umains, Mais pour guider leurs pas et fra.),er les ehemins. 3rotre Oie est un jour ; mais l’ ome qi ,eut vivre aisit ee jour, fould par deus ternitds, Pour e_n faire jaillir d’immortles elartds. La lute le grandit, la vie est sa conqte : Le repos, c’est !a mort. Fht-il toujours ,aincu, II est vi,ant du moins, car il a eombatu. ll ddlivre, il redresse, etjamais ne s’arte, Et ses pieds sur le sol n’osent se reposer Taut q’il i reste eneore une hatne it briser. ZOROASTRE. Qi parle de lute et de ffure ? 3f’est-ee pas lit ee q’ autrefois

us mortels enseignait ma vois ?