Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/82

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PYGMALION Galate it son ft’ont souleva sa main p&le ; Et le sang’ nuana des reflets de l’ opitle Son corps diafane et vermeil. La vlerg’e en souriant soeille ; sa paupitYe $e relive lang.uissament, Et son regard, de son areant lencontre le regard en vo.y’ant la lumire. Et lui, palpitant et sans voig, Vets ce sein virg.inal qe la padear colore, $e penche, et d’un premier baiser i fait dclore L’itme et l’amour tout it la fois. La vois qi l’inspirait ne se.fit plus entendre ;

En vain il invoqa les Dieus: 

Dans son coeur, enehatnd loin d’eus, Je soufie crffateur refusa de descendre. Mais qi peut dire si l’amour Ne pa.y’a pus l’oubli promis it sa tndmoire ? Qi sait si cte froide ffternitd de g.loire Vaut ce boneur qi dure’un jour ?