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Page:Ménard - Poëmes, 1863.djvu/175

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Et demain, sur la terre où le réveil t’appelle,
Quand se lèvera l’astre matinal,
Plein du souvenir d’une nuit si belle,
Tu verras luire encor ton amante immortelle
Au ciel immaculé de l’amour idéal.