Page:Ménard - Poëmes, 1863.djvu/193

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Le bonheur de la terre en vain t’appellera,
Toujours ton orgueil le repoussera.

Tu mépriseras l’amour de Zeus même ;
Mais, comme les Titans, dans un combat suprême
Vaincu, foudroyé, tu retomberas
Sous les débris du monde ébranlé par tes bras.