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Page:Ménard - Poëmes, 1863.djvu/228

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Mais le monde ébranlé dans sa chute t’en traîne,
Et ton culte proscrit avec toi périra.

Et moi, je te suivrai, car je suis le Génie
De Rome et de l’empire ; unissant leurs efforts,
Tes ennemis, les miens, las de mou agonie,
Veulent voir le dernier soleil de la patrie.
Cédons-leur, le destin le veut, nos dieux sont morts.