Aller au contenu

Page:Ménard - Poëmes, 1863.djvu/259

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée



 
Quand la faux de Kronos rendit le ciel stérile,
Le sang du grand ancêtre et sa fécondité
Répandirent dans l’onde une écume subtile
D’où sortit corne un lis la blanche Aphroditè.