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L’ADIEU.
XXIII
Quand les malheureux ont l’été
Et le soleil pour leur sourire,
Il semble qu’un peu de gaité
Vienne atténuer leur martyre.
Mais l’hiver, quand il fait si froid,
Malgré la force coutumière,
L’espérance cède et décroît
Ainsi que la douce lumière.
Avant que le ciel ne soit bleu,
L’amant triste, la lèvre aride,
N’a plus même le coin du feu,
Où la place laissée est vide.