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Page:Mérat - L’Idole, 1869.djvu/32

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Le Sonnet de l'oreille.


C’eſt la volute & c’eſt la conque ; c’eſt la chair
Devenue arabeſque avec ſon ourlet clair
Où préſide une loi d’harmonie ancienne ;

Et vous avez, malgré la date du ſculpteur,
Des airs de curieuſe & de Pariſienne
Qui fait des mots & qui provoque le conteur.