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Avant-dernier Sonnet.


C’est pourquoi je vous loue, ô blancheurs, ô merveilles,
A ces autres beautés égales & pareilles
Que l’art même, héſitant, tremble de compoſer ;

Superbes dans le cadre indigne de la chambre,
L’amoureuſe nature a, d’un divin baiſer,
Sur votre neige auſſi mis deux foſſettes d’ambre.