Page:Mérat - Les Chimères, 1866.djvu/131

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


N’aperçoivent-ils pas, à regarder sans fin
Par-dessus tant de monts, surgir l’horizon fin
De la mer et, parmi les feux du couchant rose,
Venise flamboyer comme une apothéose ?