Page:Mérat - Quelques pages avant le livre, 1904.djvu/14

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Ou te redresses, puis encor
Te courbes en de belles lignes,
Comme on fait des strophes insignes
Avec des mots de pourpre et d’or,

Devant les princesses de France,
Que d’être noble et d’embellir
Ce jardin où l’on vient cueillir,
Quand on est jeune, l’espérance.