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POUR FINIR.

III
Maintenant qu’ils sont là, cloués vifs sur la porte,
Comme l’horreur qu’ils ont des Lettres le comporte,
Et que j’ai fait justice, ainsi que je le dois,
Viens, ma Muse. L’été respire dans les bois.
Écoute la chanson de la source qui chante.
Le poème que fait la lumière m’enchante.
Viens, ma Muse, sourire en me dictant des vers.
C’est le rythme divin qui règle l’Univers,
Et ce sont des accords, ce sont des harmonies
Qui suspendent au ciel les sphères infinies.