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Page:Mérat - Triolets des Parisiennes de Paris, 1900.djvu/45

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Mauri, Subra, le chœur divin
Des lointaines, des disparues,
Vous n’êtes pas belles en vain.
Mauri, Subra, le chœur divin !
La beauté, c’est encor le vin
Par qui les races sont accrues.
Mauri, Subra, le chœur divin
Des lointaines, des disparues !