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Page:Mérat - Triolets des Parisiennes de Paris, 1900.djvu/56

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O les lunes comme le soir,
O les pauvres petits derrières !
Juste à peine de quoi s’asseoir.
O les lunes comme le soir !
Qu’on porte ainsi qu’un ostensoir
Ou comme des fleurs printanières.
O les lunes comme le soir,
O les pauvres petits derrières !

Les vastes à décourager
Les préférences de Silvestre,
Auxquels on n’ose pas songer.
Les vastes à décourager !
Fruits terrifiants d’un verger
Bien loin du Paradis terrestre !
Les vastes à décourager
Les préférences de Silvestre.

Car c’est ce qu’on voit tout d’abord
Avant les autres friandises
Chez ces victimes du record,
Car c’est ce qu’on voit tout d’abord.
Tels arrimés par-dessus bord
De lourds ballots de marchandises,
Car c’est ce qu’on voit tout d’abord
Avant les autres friandises.