Page:Mérat - Triolets des Parisiennes de Paris, 1900.djvu/63

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Pour s’habiller il n’est que vous,
Quoi de plus simple qu’un prodige
Pour une mignonne aux yeux doux !
Pour s’habiller il n’est que vous.
Si je demeure à vos genoux,
C’est simple crainte du vertige.
Pour s’habiller il n’est que vous ;
Quoi de plus simple qu’un prodige ?