qui a réuni les conspirateurs et qui leur a fourni cet excellent local : le quartier politique de la Santé. Puis ces deux autres conspirateurs, éminemment suspects et dangereux qui s’appellent : la Nature-des-Choses et le Progrès-des-Idées. »
Ainsi pensaient les royalistes en l’an 1909. Nous étions loin des vitupérations, des appels à la répression, des injures jetées sur les révolutionnaires. Mais, en dehors des idées, il y avait les hommes. Or, les hommes, le même Pujo les jugeait comme suit :
« Il se trouve qu’Almereyda, Catalan au sang chaud, à l’énergie implacable, est une belle intelligence… »
Arrêtons nous un instant et rappelons-nous les campagnes meurtrières de l’Action Française contre le même Almereyda que les royalistes poussèrent,