curieuses, et les plus horribles descriptions des massacres et des bêtises révolutionnaires, tout cela écrit avec beaucoup de passion et de verve.
J’ai reçu il y a trois jours la visite de M. Feydeau, qui est un fort beau garçon, mais qui m’a semblé d’une vanité par trop naïve. Il va en Espagne pour y faire le complément de ce que Cervantes et Lesage ont ébauché ! Il a encore une trentaine de romans à faire, dont il mettra la scène dans trente pays différents ; c’est pourquoi il voyage.
Adieu ; je pense sans cesse à vous, malgré tous vos défauts.
CCXVI
Pourquoi ne m’avez-vous pas écrit ? Vous auriez dû le faire pour beaucoup de raisons. On m’a retenu ici pour cette semaine. J’espère bien vous retrouver à Paris, car vous aurez sans doute prolongé votre villégiature si le temps