Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/215

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de tout. Quant aux femmes turques, il n’y faut pas songer. Des Grecques et des Arméniennes, ce qu’on peut dire de mieux à leur louange, c’est qu’elles sont fort jolies. Pour les femmes des consuls et des ambassadeurs, dispensez-moi de vous en parler. C’est une question diplomatique, et si j’en disais ce que j’en pense, je pourrais me faire du tort aux affaires étrangères. »

— « Vous ne paraissez pas aimer beaucoup votre carrière. Autrefois vous désiriez avec tant d’ardeur entrer dans la diplomatie ! »