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VII
Paris, 27 octobre 1866.
Chère et aimable Présidente,
Me voici de retour à Paris depuis deux jours, très-fatigué et très-triste. Toutes les fois que je rentre à Paris, j’y apprends la perte de quelque vieil ami, j’y trouve la pluie et le froid, la solitude, et j’y fais des réflexions très-peu gaies. Madame votre