Page:Mérimée - Lettres à une autre inconnue, 1875.djvu/191

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Ce qui me rassure, c’est que vous êtes à Luxeuil et que bientôt vous aurez mis le Rhin entre vous et le grand Turc.

Adieu, chère Présidente ; je vous souhaite santé, prospérité et gaieté. Vous savez que je suis toujours bien heureux quand j’ai de vos nouvelles ; mais ne m’accusez pas lorsque je cède à mes idées noires.

Veuillez agréer tous les respectueux hommages de votre secrétaire.