Page:Mérimée - Lettres à une autre inconnue, 1875.djvu/310

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J’espère, si le temps se remet un peu, que je pourrai aller vous rembourser un de ces jours, et regagner à Monaco mes frais d’apothicaire.

Vous m’avez dit d’écrire à M. Worms ; voici une lettre que je soumets à votre approbation. Si elle vous paraît convenable, veuillez l’envoyer. Je suppose que le docteur Worms est à Nice.

Je suis toujours très-patraque, un peu moins mal pourtant depuis quelques jours, mais si faible que j’ai toutes les peines du monde à faire quelques pas hors de chez moi.

Je ne sais rien du tout des grandes querelles dont vous me parlez. Nous avions