Page:Mérimée - Lettres à une autre inconnue, 1875.djvu/45

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« Nous discutâmes longuement sur la vérité de ces vers du Dante :


… nessun maggior dolore
Che ricordarsi del tempo felice
Nella miseria.


» Il prétendait que Dante avait tort et que les souvenirs du temps heureux sont partout et toujours du bonheur. Je me souviens que je défendais le poëte. Aujourd’hui, il me semble que Beyle avait raison. »

Rapprocher cette phrase de certains passages des Lettres à l’une et à l’autre Inconnue.

Y aurait-il donc eu quelque part, ignoré