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Page:Maël - Une française au pôle Nord, 1900.djvu/275

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La température, dans cette onde, était d’une tiédeur printanière. Les voyageurs, dans leurs costumes polaires, avaient trop chaud. Ils se dépouillèrent de tout ce qui leur parut trop pesant.

« Où sommes-nous donc ? » questionna Hubert, pris d’une vague inquiétude.

Comme pour lui donner la réponse, brusquement l’illumination s’éteignit. Tout rentra dans de denses ténèbres.

En même temps un choc rude fit gémir toute la membrure du sous-marin. La Grâce de Dieu s’arrêta sur-le-champ.