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Page:Mac-Nab - Chansons du Chat noir, Heugel.djvu/101

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Garde-toi de mettre en gage
Ce souvenir précieux,
Car c’est l’unique héritage,
Que m’aient laissé mes aïeux ! »

Quand il eut coiffé le feutre
Le pauvre tremblait encor :
« Ah, dit l’ saint, quoi donc lui feutre,
Pour l’arracher à la mort ?