Cette page a été validée par deux contributeurs.
Y a qu’ moi qui f’rai des réformes,
Les autres sont tous des menteurs ! »
Partout où plongent mes regards,
On colle de nouveaux placards
Où, sans façon, les candidats
Se traitent de goujats.
Pour sûr entr’ eux ils vont s’ manger,
Pensais-je en reprenant ma route,
Tout’ ces affich’-là ça m’ dégoûte,
J’ vot’rai pour le brav’ Boulanger !
Le lendemain matin, pour finir,
Ne sachant plus à quoi m’en t’nir,
De peur de m’ laisser monter l’ coup,
J’ai pas voté du tout !