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Page:Mac-Nab - Poèmes mobiles, 1890.djvu/38

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D’autres, enfin, fendus en tierce,
Semblent craindre qu’on ne renverse
L’océan d’alcool qui les berce.




Mais que leur bouche ait un rictus,
Que leurs bras soient droits ou tordus,
Comme ils sont mignons, ces fœtus,

Quand leur frêle corps se balance
Dans une douce somnolence,
Avec un petit air régence !

On remarque aussi que leurs nez,
À l’intempérance adonnés,
Sont quelquefois enluminés :