Page:Mac-Nab - Poèmes mobiles, 1890.djvu/46

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Mon concierge de sa haine
Me poursuit d’un air hautain !
Comme un fou je me promène…

Mais à cet énergumène
Mieux vaudrait parler latin.
Longue et terrible semaine !




Chasse-moi de ton domaine,
Ô maîtresse à l’œil mutin !
Comme un fou je me promène…

Je n’ai plus de marjolaine
Pour ton corset de satin.
Longue et terrible semaine !