Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/112

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Il haussa les épaules, considéra le papier, et relut la pièce, mais cette fois sans tremblement dans la voix, en accentuant les intentions littéraires, en donnant du relief aux images et de la mélodie aux vers. Enfin il m’avoua que c’était son œuvre la plus achevée. J’abondai dans ce sens ; il me serra la main, et me prédit un grand avenir.