Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/127

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jamais ne fit verser une larme à personne ; tendre mère, épouse immaculée, il fallait qu’elle mourût ainsi, torturée, mordue par la dent tenace d’une maladie sans pitié ? Tout cela, je l’avoue, me semblait obscur, incongru ; un non-sens.

Triste chapitre… Passons à un autre plus allègre.