Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/217

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le tour de mes connaissances. Je répondis, assez gêné, qu’il n’y avait pas là de quoi faire tant de bruit. Et on loua ma modestie par-dessus le marché. Alors je me fâchai pour tout de bon, et l’on me répondit qu’on me trouvait grand, tout simplement.