Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/374

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las ; je crois même que j’éprouvais quelques remords. À peine cette pensée eut-elle commencé de poindre dans mon esprit que je me vis en imagination au pied d’une adorable femme, en contemplation devant un baby endormi sur les genoux de sa nourrice, au fond d’un jardin ombreux et verdoyant, laissant passer un coin bleu du ciel, si bleu…