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Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/397

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Si le tricorne ne te sourit pas, j’emploierai l’expression d’un vieux marin, ami de Cotrim. Je dirai que si tu gardes tes lettres de jeunesse, tu auras l’occasion de « chanter une nostalgie » ; c’est le nom que nos loups de mer donnent aux airs de la patrie, qu’ils entonnent en plein océan. Comme expression poétique, on ne saurait rien trouver de plus triste.