Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/453

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son regard. Les sièges étaient excellents. Au dehors brillait un grand soleil que Quincas Borba, par plaisanterie ou dans un accès de lyrisme, appela un des ministres de la Nature. Des trois fenêtres, pendaient trois cages, où des oiseaux sifflaient leurs opéras rustiques. Tout avait l’apparence d’une conspiration des choses contre l’homme. Et bien que je me trouvasse dans mon cabinet, en face de mon jardin, assis dans mon fauteuil, au milieu de mes livres, éclairé par mon soleil, et en train d’écouter le ramage de mes oiseaux, je ne pouvais me consoler de la perte d’un autre fauteuil, auquel je n’avais plus droit.