Page:Machado de Assis - Mémoires posthumes de Bras Cubas.djvu/54

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est indispensable ; mais je la préfère en déshabillé, sans atours ni colifichets, se moquant des opinions du voisin et de celles du commissaire de police de quartier. C’est comme l’éloquence : il en est une naturelle et vibrante, d’un art sincère et ensorceleur ; et une autre empesée et vide.

Revenons au 20 octobre.