Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/138

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Cette musique lente, au caprice musqué,
Soupire et meurt, noyant son âme dans un rêve
Extatique et subtil, et, quand elle a plaqué,

Rêveuse, les derniers accords, elle relève
Sa traîne avec un geste adorable, et se lève
En souriant d’un air mièvre et compliqué.