Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/142

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Sourire, il faut que je sourie
Sur la lèvre exquise et fleurie
De celle qu’en rêve tu vois.

Je suis la Musique elle-même,
Et je chante en la douce voix
De celle qui t’a dit : Je t’aime.


d’après Bouville