Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/148

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 
Et, lorsque enfin pour nos salons
Vous armez les clairs violons
De leurs cordes harmonieuses,

Ce miaulement infini
Prend des notes délicieuses
Sous l’archet de Paganini.