Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Et puis il faut des cœurs de héros ! L’on se laisse
Aller parfois, il est des heures de faiblesse
Où l’on maudirait l’art cruel. — Mais je connais
L’âpre désir qui mord ton âme inassouvie
Et je sais trop aussi que j’en ai pour la vie.
— Va, mon cher, nous ferons encor bien des sonnets.