Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/163

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Et, si je l’avais, pourtant, décrochée !
Mais elle est bien haut, mon petit ami,
Elle est tout là-bas. De l’avoir cherchée,
J’en suis revenu morne et tout blêmi.
 
Va, traîne la vie obscure et commune,
Ô mon cher petit. Ne regarde pas
Cette décevante et trompeuse lune :
Elle est tout là-bas, vois-tu, tout là-bas !