Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/25

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Le profond, le subtil frisson
Des amours troublantes et brèves,
Voilà ma vie et ma chanson
Et je ne veux pas d’autres rêves.
 
Et je vais, me laissant charmer
Dans l’extase de vivre en Elle
Et dans l’enivrement d’aimer,
En chantant l’Idylle Eternelle.